Lorsque j'initie quelque chose, l'enthousiasme que j'éprouve est souvent un doux mélange de liberté et de vertige. Cette infolettre devait donc se traduire par le plaisir de communiquer, sans contrainte de fréquence, ni de contenu. Et pourtant, je me suis vite prise au piège des conventions. Comme si écrire aux 3 semaines, créer des outils, inclure des url, m'interdire de mentionner mes services de coaching, assuraient l’outcome.
La bonne nouvelle c'est que j'aime contourner les règles, miennes incluses. Après 3 mois d'été à ne pas écrire pivoter vers l’Estrie, je m'autorise à souligner ici le premier anniversaire de mon offre de microcoaching, Parle à nat. Dont voici quelques points saillants.
Des confirmations :
- Les fondements du travail bougent, ça nous brasse toustes, sans exception;
- Les émotions prennent de plus en plus de place;
- Le monde qui travaille a besoin d'être considéré – écouté, validé;
- Les stress d'incertitude et les questionnements infiltrent tous les rôles;
- Les besoins de recul et d'insights sont universels;
- Le monde au travail a besoin d'humanitude.
Des constats :
- Les sujets abordés sont tout sauf redondants;
- Tous les niveaux hiérarchiques Parlent à nat;
- Moins de très jeunes qu'anticipé, plus de dirigeant.e.s, de CEO, d'associé.e.s;
- Les domaines sont variés, quoique la majorité vient de l'industrie de la com-mkt;
- La formule à la demande avec montant d'honoraires discrétionnaire est un succès – on revient au besoin et personne se sauve sans payer.
Ma zone, le freestyling. Découvrir de nouvelles personnes (⅓ des rdv) enchante la relationnelle que je suis. Apprendre live ce que l'entretien abordera, me captive – pas d'à priori, pas d'agenda, pas d'filtre. Cette liberté me permet d'offrir une présence brute. Mon intuition s'active et je puise allègrement dans mon bagage d'expérience.
Je remercie et salue celles et ceux qui se livrent sans retenue. C'est un honneur pour moi de servir et une grande joie que d'aimer à ma façon, les humain.e.s qui portent notre monde du travail.
La backstory de Parle à nat.